ACCOMPAGNEMENT AVEC LE FELDENKRAIS

 Guylaine • Le Puy

« Septembre 2015. Suite à une chute, déjà ancienne de 9 mois, avec fissures du sacrum, j’étais dans l’impossibilité de reprendre ma pratique du yoga et je cherchais une activité corporelle de remplacement.

Je me suis alors tournée vers la méthode Feldenkrais sans vraiment savoir de quoi il s’agissait. Hélène Millardet m’a d’abord suivie en séance individuelle pendant 5 ou 6 semaines pour un problème d’épaule. J’ai été surprise par la précision et la finesse de son travail. Puis j’ai pu intégrer ses séances collectives qui m’ont fait découvrir peu à peu comment je m’organisais pour effectuer un mouvement donné. Mes limites sont alors devenues des possibilités de bouger autrement.

Depuis, je suis ses leçons hebdomadaires, je participe à des ateliers avec grand plaisir . Ce sont toujours des moments de découvertes sans cesse renouvelées où je me retrouve avec moi-même. Le monde des sensations s’est ouvert à moi et je suis persuadée d’y trouver indépendance et processus d’évolution. »   Janvier 2019.


Hélène • Le Puy

 » Suite à une poliomyélite contractée à l’âge de 4 ans, je marche avec une jambe très atrophiée, ce qui a entraîné à la longue , une souffrance de mon corps : squelette, muscles et ligaments.

J’ai essayé, puis adopté, depuis deux ans, la méthode Feldenkrais, à raison d’une séance individuelle tous les quinze jours.

Cette méthode m’a beaucoup apporté:

  • l’instauration d’une nouvelle communication entre le haut et le bas de mon corps, une sorte de reconnexion,

  • l’amélioration de ma représentation mentale de mon schéma corporel, c’est à dire que je commence à réintégrer mon côté gauche déficient dans l’image que j’ai de moi-même,

  • la réappropriation par mon corps de ses possibilités, en lui faisant redécouvrir des chemins de fonctionnement oubliés, ou devenus peu confortables.

Ces séances sont comme des cadeaux que je me fais, moments privilégiés où je suis à l’écoute de mon corps, à l’écoute de moi-même, ce que j’ai beaucoup négligé dans ma vie? A chaque exercice je suis comme une petite fille qui attend, pleine de curiosité, la suite d’une histoire…

Je ne saurais que recommander cette méthode, qui est une véritable thérapie holistique. Cela représente un travail qui peut être de longue haleine pour les pathologies lourdes comme la mienne, mais cela en vaut vraiment la peine. Nous méritons tous cette attention à nous-mêmes, soyons-en persuadés. » 2018 


Ariane • Saint Martin de Fugères

« Je pratiquais déjà le Feldenkrais à Montpellier ; à partir du moment où j’ai commencé, je n’ai plus eu besoin de consulter d’ostéopathe (deux à trois fois l’an pour des douleurs dorsales et cervicales…)
Très déçue qu’il n’y ait pas de praticien Feldenkrais quand nous sommes arrivés au Puy, j’ai dû à nouveau consulter un ostéopathe au bout de 2 ou 3 ans, car les mauvaises habitudes se reprennent si facilement…
Nous avons découvert l’arrivée d’Hélène Millardet avec bonheur et avons repris le chemin des cours collectifs et des IF… et cela s’en est suivi d’une nette amélioration …
Un accident grave a nécessité une hospitalisation de 3 mois pendant lesquels Hélène est venue chaque semaine au centre de rééducation de l’hôpital E Roux. Cela m’a permis de reprendre conscience de mon corps endolori par les opérations et diverses agressions… et de me le ré-approprier. Prise de conscience notamment de la colonne vertébrale et de la partie rigidifiée par l’arthrodèse ;
Prise de conscience également de sa mobilité si légère soit-elle malgré les plaques et les vis, prise de conscience de là ou cela peut bouger… etc etc…
Je n’étais plus un « objet à recoller » par les soins des spécialistes, mais je redevenais actrice de moi-même… Cela a l’air de rien, mais cela va beaucoup plus loin que la simple conscience du corps, car nous sommes un tout ; et parallèlement à ce travail concret, il a pu se faire une réappropriation de toute ma personne (corps âme et esprit) par moi même, car il est évident que les circonstances de l’accident ressurgissaient souvent, et ressurgissent encore pour s’affiner et s’accepter, se comprendre… etc. » 


Douceur de l’Éveil • Pierre, Saint-Elbe.

1-1

« Je n’ai pas dessiné ce mandala en pensant au travail avec Hélène,  je l’ai choisi parmi de nombreux autres parce que j’ai ressenti intuitivement qu’il pouvait en être le symbole. Il se nomme « douceur de l’éveil ». Mais il n’y a pas que de la douceur en lui, il a un centre fort, des flèches qui donnent des directions, des anneaux successifs montrant une progression, le tout dans une atmosphère de couleurs douces. Si je prends le temps de développer ce symbole qui s’est imposé à moi, j’y retrouve les éléments qui définissent les séances de travail, un centre de gravité constant, des directions précises, des ambiances attentives et soutenues, le tout dans une grande douceur d’accompagnement. Douceur de l’éveil, le bien nommé. »

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